• Esperluette, Partie III, Extrait III : la bouche


    "Le cri", Edvard Munch, 1893, Oslo, Musée Munch

    Munch écrit : "Je me promenais sur un sentier avec deux amis - le soleil se couchait - tout d'un coup le ciel devint rouge sang - je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture - il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et la ville - mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété - je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers.. "

    Ca va assez bien avec l'extrait à illustrer, et j'ai récupéré l'idée de cette bouche démesurément ouverte et déformée.

  • Commentaires

    1
    Mardi 9 Janvier 2007 à 15:03
    tu vois
    je me sens comme chez moi, là d'un coup...
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