"Le cri", Edvard Munch, 1893, Oslo, Musée Munch
Munch écrit : "Je me promenais sur un sentier avec deux amis - le soleil se couchait - tout d'un coup le ciel devint rouge sang - je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture - il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et la ville - mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété - je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers.. "
Ca va assez bien avec l'extrait à illustrer, et j'ai récupéré l'idée de cette bouche démesurément ouverte et déformée.
je me sens comme chez moi, là d'un coup...