• Mon ami Philémon a glissé cette photo dans un message électronique aujourd'hui. Cette photo, pour moi, c'est un cadeau, que j'offre à mon tour aux quelques amis qui visitent ce blog.

    C'est une photo des Goudes sous la neige (dans le 8ème arrondissement de Marseille). Etonnant, non ?


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  • Au tout départ, cet extrait m'avait fait penser à Robert Combas. N'ayant même pas envisagé une seule seconde que celui-ci m'autorise à reproduire ses oeuvres sur ce blog, voici le lien vers son site perso : http://www.combas.com . Dommage, ça bugge... Et puis, finalement, le feeling n'y est plus vraiment...

    Ainsi donc, si quelqu'un pense à quelque chose concernant "l'imagerie" de ce passage d'Esperluette... merci !


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  • "La danse" (esquisse préparatoire), Henri Matisse, 1909

    La seconde piste, toujours dans l'idée de ce passage :

    Et des chairs transpirantes de kilowatts inconscientes et superbes sculptent le bruit de moiteurs abstraites et tout tout bouge tout bouge tout ge bou bou ge bou tout ge bouge et des dizaines de minutes s'incrustent dans l'air essoufflé et l'orgasme rauque se perpétue en échos solides et danse la sombralgie des lueurs hurleuses [...]

    Le trait de Matisse semble beaucoup trop raffiné pour évoquer de genre d'ambiance. Le caractère un peu brut de Rodin paraît convenir mieux. Mais ici, avec l'esquisse, Matisse est encore en recherche, dans un foisonnement gestuel, dans une dynamique instinctive. Pour aboutir à un trait quintessentiel, d'une ultime simplicité, dans la version finale.


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  • "Trois faunesses", Auguste Rodin, 1882, Paris, Musée Rodin

    Ah, pas évident, cet extrait, je suis en manque d'idées... J'ai pensé à mille choses, sans qu'aucune ne me semble franchement pertinente. Restent deux pistes plus convaincantes que les autres. La première, ce groupe de Rodin, notamment pour illustrer le passage suivant :

    Et des chairs transpirantes de kilowatts inconscientes et superbes sculptent le bruit de moiteurs abstraites et tout tout bouge tout bouge tout ge bou bou ge bou tout ge bouge et des dizaines de minutes s'incrustent dans l'air essoufflé et l'orgasme rauque se perpétue en échos solides et danse la sombralgie des lueurs hurleuses [...]

    La puissance, le lyrisme, l'érotisme de Rodin, voila pour une première piste, donc.


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  • C'est mieux comme ça ?

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