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Hum bis : un souci technique bis m'oblige à reposter ce dessin bis.
Le texte est ici : http://www.blogg.org/blog-51671-billet-461052.html
La référence à Félicien Rops est là : http://www.blogg.org/blog-51671-billet-461054.html
L'iconographie traditionnelle représente volontiers Saint-Antoine accompagné d'un cochon muni d'une clochette. Dans ce dessin, j'hésite à barbouiller légèrement ce cochon de rose...
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Hum : un petit souci technique m'oblige à reposter ce dessin...
Le texte se trouve là : http://www.blogg.org/blog-51671-billet-456027.html
Quant aux diverses tergiversations concernant ce dessin :
http://www.blogg.org/blog-51671-billet-456028.html
http://www.blogg.org/blog-51671-billet-456044.html
http://www.blogg.org/blog-51671-billet-456707.html
Faut suivre !
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L'idée me tentait depuis longtemps, pour cet extrait d'Esperluette, ce sera chose faite : une séquence. Mais étant tombé en panne de papier et de pastel noir dimanche dernier, il me faudra d'abord achever les deux dessins précédents.
Partie I, Extrait III : Allonger démesurément le bras de Saint-Antoine vers cette lune bifide qu'il faut agrandir, et probablement, retravailler le cadrage de la croix (je la voudrais coupée par le bord de feuille).
Partie I, Extrait II : Encore mal foutu et sans idée graphique précise, le déclic n'est toujours pas là, mais je garde l'idée.
La composition ci-dessus est une oeuvre de Blowup pêchée sur http://www.zyeuter.com, dont la visite s'impose évidemment. Je l'ai choisie parce qu'il s'agit, comme dans l'extrait à illustrer, de croiser les lieux et les passants, dans un montage que je trouve ici très astucieux.
Filiiip
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II
Le trottoir défile uniforme rectiligne uniforme une femme en chair et en os me tourne le dos et je me coince les doigts dans le tic-tac de ses jambes transparentes au creux de ses cuisses invisibles je devine les nâcres rares et les rares épices.
Je me mets à faire des multiplications par deux avec mes pas et au moment où je parviens à sa hauteur ni vu ni connu je glisse mes obsessions dans l'interstice bicéphale de son décolleté CQFD.
La blancheur indélébile de sa poitrine me va droit au coeur aussi pour apaiser mes pulsations incontrôlées et cardiaques je titube l'air de rien jusqu'à la terrasse d'un café.
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Bientôt troublé j'ai enfin l'idée de m'évader je fais alors grincer du mieux que je peux les gonds immenses de la porte et m'échappe de l'église l'air tiède de la petite place m'attend depuis plus d'une demi-heure il me prend par la main et nous allons tous deux promener en ville notre besoin d'en savoir plus.
Lumière lumière qui t'abreuves du sang des autres lumière qui violentes la peau des femmes lumière qui tyrannises les regards qui t'adorent lumière ma criminelle complice allons encore vers le jour accomplir quelque abominable forfait !
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